Ce roman raconte l’histoire d’une jeune fille qui découvre la vraie vie, face à la violence familiale du père, la passivité de la mère, soumise aux colères d’un mari alcoolique qui la tabasse et la sidération muée en psychose d’un frère accidenté.
On qualifie de violences familiales des violences exercées au sein de la famille, au sens large. L’expression regroupe aussi bien les faits de violence conjugale, de violences faites aux enfants, aux ascendants, ou à tout membre de la famille élargie, dès lors qu’elles partagent le même toit, voire, selon les cultures une communauté proche (Wikimedia). Le 26 novembre 2018, la Direction de l’information légale et administrative
(Premier ministre) précise que toute forme de violence conjugale est interdite par la loi, qu’elle touche un homme ou une femme, qu’elle soit physique, psychologique ou sexuelle. La victime de violences conjugales qui signale les faits peut bénéficier de nombreuses mesures de protection de la part des institutions publiques et des associations. Ces mesures peuvent même s’étendre aux enfants. Posons ce livre sur nos bureaux et pensons à poser systématiquement en consultation la question “subissez-vous des violences familiales ?
Présentation du livre de Hélène Colangeli Hagège et Max Claude Cappelletti
La rééducation anorectale tout en douceur
B. de ROCHAMBEAU*
Voilà un guide simple à l’intention de tous ceux qui découvrent que le traitement des troubles de la statique pelvienne ne peut se résumer à la rééducation périnéale et à la chirurgie. Le volet anorectale, trop souvent méconnu et donc ignoré, est pourtant une des clés du succès fonctionnel. Cet ouvrage conçu comme un guide d’initiation est didactique et précis. Il vous donnera les clés de l’information à délivrer à vos patientes pour lever les inquiétudes qui naissent dès que l’on évoque les troubles anorectaux.
* Gynécologue médicale, Secrétaire générale du Syngof et Présidente du Collège de Gynécologie du Centre Val de Loire
* Président du SYNGOF – Co-Président du BLOC
E.PAGANELLI*
Article paru dans la revue “Syndicat National des Gynécologues Obstétriciens de France” / SYNGOF n°115
