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Bienvenue sur le réseau social professionnel reseauprosante.fr  du Médioffice France, à Bourg-en.Bresse

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La clientèle de MédiOffice est essentiellement constituée d´hôpitaux mais de plus en plus de cliniques font appel à ses services. Cette clientèle se répartit sur l´ensemble du territoire national avec une forte représentation sur la moité Sud de la France. A ce jour, MédiOffice a travaillé pour plus de  400 établissements différents.

 

 La relation entre hôpitaux et médecins ont changé et la médecine de remplacement s´est professionalisée face aux dispartités de moyens entre les établissements.

 

Dans ce contexte, MédiOffice a su proposer :

* Aux établissements de santé : une large population de médecins spécialistes disponibles pour des missions ponctuelles.

 

* Aux médecins : une centralisation des besoins des hôpitaux et une pré-négociation des conditions d´intervention.

 

Toutes les spécialités peuvent être proposées par MédiOffice mais les anésthésistes, urgentistes et radiologues sont les trois spécialités les plus demandées avec  67% des volumes.

 

A ce jour plus de 2 200 médecins ont déjà réalisé une mission proposées par MédiOffice.

 

Répartition des clients :

clients

 

Répartition des spécialités :

spécialités

 

 

 

La Bourse du Remplacement Médical... Le Bon spécialiste au Bon moment ...

Mission :

Notre Mission ; Trouver le Bon spécialiste au Bon moment...

Description :

Le recrutement médical se sophistique

Alors que les difficultés de recrutement se font grandissantes dans certaines spécialités, certains proposent des solutions d’accompagnement adaptées à l’exigence de résultats des hôpitaux. C’est le cas de MédiOffice, « LA BOURSE DU REMPLACEMENT » pour les professionnels de la santé, qui a étendu son champ d’activités au recrutement en qualité de chasseur de tête et même au conseil.

Comment se comporte la demande actuelle en termes de recrutements et de remplacements ?

Le marché français n’est pas au mieux, mais nous rencontrons beaucoup de demandes dans certaines spécialités. Ainsi, l’anesthésie représente 33,12 % de ces demandes. Viennent ensuite les urgentistes et smuristes (22.11 %), la radiologie, qu’il s’agisse d’IRM ou de scanners (10.98 %), puis la gynécologie obstétrique (5.57 %), la cardiologie (4,31 %) et la pédiatrie (4,47 %). Le reste se répartit entre infirmières spécialisées, pneumologues, généralistes ou orthopédie. Aujourd’hui, les hôpitaux ont donc un grand besoin en anesthésistes. Mais les besoins et la demande évoluent de façon surprenante : la demande en radiologie n’était pas encore si perceptible il y a quatre ans.

Le recrutement reste problématique pour la plupart des hôpitaux français dans les filières que vous évoquez. Ne l’est-il pas aussi pour vous ?

Nous rencontrons bien sûr des difficultés nous aussi, mais présentons l’avantage de regrouper beaucoup de praticiens qui ont souhaité sortir un peu du cadre hospitalier pour gagner en liberté ou mener à bien des projets personnels, et ce tout en conservant leur activité. Notre démarche présente également un intérêt financier. La négociation est immédiate et, après étude de coût lissé sur une année, nous ne sommes guère plus chers qu’un praticien travaillant sur le mode classique.

Sur le contexte, il est vrai que le numerus clausus du début des années 1980 contribue désormais aux difficultés de recrutement, alors que nous traversons une période de « papy boom » la relève à du mal à être assurée sur les spécialités qui requièrent des Bac + 12 voire 14, ce sont des études très longues, coûteuses avec au final des responsabilités médicaux légales de plus en plus astreignantes. A ce sujet, nous devrions nous poser les vraies questions pour l’avenir et pourquoi pas innover dans le domaine de la formation médicale en commençant par la base c'est-à-dire l’hygiène de vie et surtout, la nutrition, qui représente 1 journée d’information seulement sur 9 ans d’études…

La médecine cantique sera-t-elle une nouvelle piste pour l’avenir ?

Saviez-vous que pour la médecine Chinoise, le ventre est le deuxième cerveau !

Vous proposez également des prestations de conseil. Que recouvrent-elles ?

Il s’agit essentiellement de missions au coup par coup, d’audits réalisés par des médecins spécialisés dans l’évaluation interne du coût d’une structure. Nous avons mené ce genre de démarche avec succès, et éclairé certains établissements avec un regard extérieur et nouveau. Car dans l’hôpital, les choses sont bien pensées, mais certains virages n’ont pas toujours été pris au bon moment : le regard extérieur s’avère alors pertinent pour proposer des recommandations sur la réorganisation ou le recentrage d’un bloc afin d’en améliorer l’efficacité voire la rentabilité. Bien que les regards extérieurs ne soient pas toujours bien perçus en France, les hôpitaux de proximité, voire les CHG avec lesquels nous avons travaillé, nous remercient souvent pour cet apport.

Comment vous distinguez-vous des concurrents qui interviennent sur le marché du recrutement ?

À travers notre activité de chasseurs de têtes, nous installons des médecins pour un certain temps dans les hôpitaux par le biais du remplacement. Si tout se passe bien, l’expérience se conclut plus facilement sur un recrutement. Les chasseurs de têtes classiques peuvent manquer de reculs et recrutent la plupart du temps des médecins à l’étranger, ces derniers ne restant pas toujours en poste et n’ayant pas forcément le niveau d’études de leurs homologues dans l’Hexagone. Et leur offre n’incorpore pas toujours cet aspect « remplacement », qui permet de jauger de l’adéquation entre le besoin et le praticien proposé.

Les cabinets de recrutement sont astreints à une obligation de moyens. Comment garantir le résultat dont ont besoin les hôpitaux et assurer en même temps votre juste rémunération ?

Les chasseurs de tête ont toujours tendance à « jouer au poker », à se faire rémunérer un acompte très conséquent d’abord et à lancer la recherche ensuite. Notre vision est différente : le médecin candidats que nous missionnons pour des remplacements peut être tenté par un hôpital. Nous le perdons alors comme remplaçant, mais laissons un résultat durable pour la structure cliente, lorsque la période d’essai et la satisfaction sont réciproques entre celle-ci et le praticien, comme cela arrive dans 95 % des cas. Concernant nos honoraires ils sont perçus toujours en fin de mission, et ou au prorata temporis. Nous avons souhaité innover par rapport à ce qui se pratique et instaurer un partenariat gagnant-gagnant, sans que le client soit obligé d’avancer des sommes conséquentes sans garanties.

Comment va l’activité de MédiOffice ? Quelles sont les perspectives de croissance et de communications pour vous ?

Nous constatons que la demande progresse. Nous avons davantage de clients mais nos marges diminuent. Notre métier demande une réactivité appuyée d’une logistique et d’un outil informatique performant, évolutif et de dernière technologie. Notre site internet www.medioffice.com en est la preuve, après trois années de développement, nous avons dédié un espace pour nos clients et candidats qui peuvent accéder en directe à leurs propres comptes qu’ils peuvent consulter, gérer ou intervenir à distance. Par le moyen de nouvelles technologies, ces échanges d’informations sont mises à jour en temps réel avec notre Base De Données, cela va nous permettre en outre d’améliorer nos temps de réponses face aux demandes exponentielles, réduire les attentes téléphoniques et contribuer au développement durable avec moins d’envoie de courriers postale.

Nous sommes d’autre part satisfaits de la volonté actuelle du ministère de la santé d’ouvrir le numerus clausus pour pérenniser la notion de Service Public, à laquelle nous sommes tous très attachés.

 

 

 

 

 

Site internet du Medi Office de Bourg en Bresse, Ain, Rhône-Alpes :

http://www.medioffice.com/

 

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