Les news des IFP : Toulouse

Publié le 03 May 2022 à 14:33

IFP de TOULOUSE

L’Institut de Formation en Psychomotricité de Toulouse est composé de 150 étudiants. Notre directeur se nomme Jean Michel ALBARET, un psychomotricien chercheur.

Notre école est ouverte depuis longtemps, très longtemps ! Elle a une vision plutôt neurologique de la psychomotricité et nous forme merveilleusement bien aux bilans psychomoteurs.

Nous avons une association étudiante : l’ATEP. Elle nous permet de créer des liens entre futurs psychomotriciens Toulousains mais aussi avec des étudiants d’autres associations. Avec elle nous réalisons beaucoup d’actions ! Tout d’abord, nous sommes adhérents à l’Association Nationale des Etudiants en Psychomotricité et à l’Association Générale des Etudiants de Midi-Pyrénées. Ceci nous permet de bénéficier de plusieurs formations à l’associatif, de nous impliquer dans la vie de la faculté ou dans l’évolution de la psychomotricité. Tout cela est donc très enrichissant !

Ensuite, notre association dispose d’un pôle « événement » qui essaie d’organiser une soirée par mois et des activités avec d’autres associations étudiantes (Lasergame, paintball, bowling…) ! Le pôle « solidarité » s’implique quant à lui dans différents événements tels que le Téléthon, Nez pour sourire, l’hôpital des nounours, le Sidaction, un repas à l’aveugle... Généralement les étudiants s’investissent dans ces causes importantes à leurs yeux et vivent de beaux moments de partage. Nous avons aussi un pôle qui s’occupe des formations. Il s’agit d’initiations à des médiations qu’on ne voit pas en cours (Sophrologie, chi-qong, musicothérapie…). Il y en a environ une par mois. De plus, elles sont accessibles à tous (3 à 7 Euros par formation).

Nous avons aussi les « Cafés Psychomot’ » mis en place il y a 3 ans. Le but est de se retrouver dans un café un dimanche après-midi et de débattre sur différents sujets. Les professionnels y sont conviés et nous font part de leur vécu.
Ahlala il y a déjà beaucoup de choses ! Et ce n’est pas fini !

Chaque année se déroule la journée Toulousaine de la Psychomotricité, un congrès organisé par l’ATEP avec l’aide
de nos formateurs. Il aura lieu le 21 mai et traitera de l’Autisme.

Vous devez vous demander si avec tout cela on a le temps de de s’évader quelques jours. Eh bien oui ! Comme tous les ans, le premier weekend d’octobre est consacré à l’intégration des premières années. Une fois encore, il était ENORME : Une soirée en discothèque le jeudi pour s’échauffer. Le vendredi distribution des CAPES et c’est parti pour l’Apparthon dans le centre-ville de Toulouse ! Puis le samedi pas de grâce matinée, rendez-vous à 12h à la fac et départ dans la montagne en direction du gîte. L’aprèsmidi plusieurs jeux sont organisés et une super soirée sur le thème du RUBIKS CUBE clot la journée ! Puis le dimanche c’est brunch, bain de mousse et ventre qui glisse ! Yououh ! C’était vraiment un weekend de folie qui nous à permis de rencontrer les nouveaux étudiants et de leur montrer qu’en psychomot’ tout le monde s’aime et que c’est génial ! ;) Ensuite nous nous retrouvons pour le weekend de Ski début févier ! Il y en a pour tout le monde : Ski, Luge, Randonnée, Balnéo… Nous n’avons pas le temps de nous ennuyer. Nous mangeons plutôt bien (Tartiflette miam !) et nous nous amusons beaucoup (Cachecache dans le château, soirée pyjama…) ! Ce weekend est important car il permet de rapprocher les promos et de créer une bonne ambiance.

Enfin arrive la Désintégration pour les 3èmes années…. Mouahahaha ils vont prendre cher les futurs diplômés ! Ah oui et n’oublions pas la plus belle : APOR, notre association humanitaire ! Chaque année des étudiants partent durant l’été en Roumanie pour aider des enfants en situation de handicap dans des Orphelinats. Nous investissons leur motricité à travers des activités ludiques pour maintenir leurs capacités acquises pendant l’année à l’école. Nous leurs apportons aussi des vêtements. Depuis peu, nous intervenons aussi dans des maisons de retraite pour jouer avec des personnes âgées…

Nous espérons que cet article vous aura un peu guidé sur qui nous sommes à l’ATEP. C’est une jeune association que nous voulons faire évoluer et ceci passe par notre ouverture aux autres et par une grande motivation !

Aller bisous des Psychomot’ Toulousains !

Un Pôle Formation de l’ATEP
Le Pôle Formation de l’IFP de Toulouse, constitué de trois étudiantes en 2ème année, organise des petites formations pour découvrir des médiations que les étudiants ne verront pas en TD pendant leurs trois années d’études.

L’idée est de faire découvrir des disciplines artistiques, sportives, corporelles, etc. que les futurs psychomotriciens pourront intégrer plus tard au cours de leur exercice professionnel dans leurs projets de soins.

Evidemment ces formations, de par leur durée très courte - une demi-journée la plupart du temps - ne leur permettront pas de devenir des experts dans les champs expérimentés mais pourront élargir leurs perspectives et peut-être leur donner envie d’approfondir par eux-mêmes tels ou tels domaines.

Les intervenants que le Pôle Formation fait venir sont rémunérés pour la plupart. La plus grosse partie de cette rémunération est prise en charge par l’ATEP, mais des événements ponctuels comme des ventes de gâteaux sont envisagés pour diminuer la participation financière des étudiants.

Voici un aperçu des formations proposées, ou en cours de discussion cette année :

  • Massage des bébés et toucher nourrissant (passée)
  • Shiatsu/ Gi Qonq
  • Danse-percussions
  • Communication non violente
  • Art thérapie - Musicothérapie
  • Cirque

Si vous êtes intéressé par des informations supplémentaires, n’hésitez pas à nous contacter via : [email protected]

Estelle Térisse
Clémentine Siemen
Clémentine Rondeau

Interview de Pascaline, en 2ème année à l’IFP de Toulouse qui a suivi plusieurs formations organisées par le Pôle Formation depuis l’année dernière

Pôle Formation : Quelles sont les formations que tu as suivies via le Pôle Formation ?
Pascaline : Feldenkrais, Sophrologie, qu’est-ce qu’il y avait d’autres ?… je les ai toutes suivies celles de l’année dernière sauf une je crois.
P.F. : Qu’en as-tu pensé ?
P. : C’était plutôt chouette. Je ne considère pas ça comme des formations mais plus comme des découvertes. J’apprécie ces séances parce que ça ouvre à des choses. Parfois j’ai envie d’approfondir, parfois pas. Ça peut donner envie d’expérimenter des choses pour soi mais aussi de les mettre en place dans notre pratique professionnelle.
C’est pour ça que ça m’intéresse.

P.F. : Finalement tu entrevois ces formations comme des découvertes mais qui nécessitent un approfondissement pour pouvoir être utilisées dans la vie professionnelle ? 
P. : Peut-être que sur certaines formations c’est possible de les utiliser directement, je ne sais pas, mais celles que j’ai faites jusque-là m’ont donné le sentiment de devoir me perfectionner pour pouvoir les mettre en place plus tard.

P.F. : Il paraît que c’est ce que tu as fait suite à la formation de l’année dernière autour du Feldenkrais ?
P. : Oui, cette année, au début du mois de septembre, je me suis inscrite aux cours de Feldenkrais qui sont donnés à Ramonville parce que l’année dernière ça m’avait énormément plu. J’avais aimé le type de relaxation que c’était. Je trouvais que ça pouvait apporter beaucoup sur le plan professionnel aussi parce qu’on apprend tout ce qui est facilitation du mouvement, comment on fait les coordinations tout en étant dans la lenteur… Donc j’y suis retournée avec la même formatrice et c’est vrai que c’est chouette, déjà parce que c’est un bon moment pour moi, c’est super agréable, mais aussi parce qu’à chaque fois j’ai l’impression d’apprendre plein de trucs sur comment faire des mouvements sans que ça fasse mal… C’est vraiment chouette. Et c’est vrai qu’à la base je ne connaissais pas du tout.

Les Cafés Psychomot’Toulousain
Les Cafés Psychomot’ de Toulouse ont été fondés en 2013 à l’initiative d’étudiants de l’IFP dans le but de créer un espace d’échanges entre étudiants, jeunes professionnels et plus avertis de tous horizons. Chaque séance se déroule autour d’un thème proposé par l’équipe, à raison d’un café tous les deux mois. Le débat se veut respectueux des divergences d’opinions et des questionnements propres à l’expérience de chacun. Pour plus de convivialité,
les rencontres se déroulent dans un café associatif autour d’un thé et de gâteaux faits maison.

Cette année, les thèmes abordés étaient : « Défendre le métier de psychomotricien au sein d’une équipe pluridisciplinaire », « L’échec thérapeutique » et « Mise en place et déroulement d’un travail de groupe en psychomotricité ».

Pour plus d’informations, vous pouvez nous contacter via cette adresse mail : [email protected]

L’équipe des Cafés Psychomot’
Cynthia, Maxime & Sabine

TEMOIGNAGE

« J’ai participé au café sur le thème de « l’échec thérapeutique ». J’ai aimé pouvoir rencontrer des professionnels. Leurs témoignages sur leurs prises en charge et l’organisation de leurs structures m’ont apporté des pistes de réflexion intéressantes pour ma future vie professionnelle. J’ai trouvé le débat bien mené et agréable à suivre. ».

Cécile, 2ème année

« AUTISME, Vous avez dit AUTISME ? »

Envie d’en savoir un peu plus, envie de rencontrer des maîtres en la matière ?
La Journée Toulousaine de la Psychomotricité est faite pour vous !!!
C’est une journée qui rassemble de nombreux étudiants et professionnels autour d’un thème phare en psychomotricité. Cette année, vous l’avez compris nous nous retrouverons autour de l’autisme. Lors de cet événement nous serons tous là dans le but de partager nos connaissances, notre expérience, ou notre soif d’apprendre !!!

Le jour J (samedi 21 Mai) :
Vous arrivez à 8h, frais comme des gardons, on vous offre le café, le jus d’orange et les croissants pour bien vous réveiller ! Puis à 9h, la journée commence par une série de conférences.

Pour votre plus grand plaisir, voici en avant-première un petit aperçu du programme et des intervenants :

  • Madame Magali ROCHAT qui nous parlera des hypothèses et des recherches autour d’un possible trouble de la Cognition Motrice.
  • Pauline BERTRAND et Pauline FAQUET qui nous présenteront leur expérience sur l’intervention en psychomotricité auprès d’ados porteurs d’un TSA (Trouble du Spectre Autistique) avec une déficience intellectuelle moyenne à profonde.
  • F. TAVERA (psychomot) et C. GARRIGOU (Ortho) sur la mise en place de la P.E.C.S (Picture exchange communication system) en équipe pluridisciplinaire dans une classe TED (Trouble Envahissant du Développement).
  • Une intervention de l’équipe du CERESA (Centre Régional, d’Education et de Services pour l’Autisme en Midi- Pyrénées) avec Madame Elise GRENIER-MIQUEL.

Une petite faim ? L’Association Pour les Orphelins Roumains se fera un plaisir de vous accueillir autour d’un repas composé de salades, de sandwichs, de bons gâteaux et de délicieuses crêpes. Tous les bénéfices de ce repas seront reversés au profit de l’association et de leurs actions sur le terrain.

Envie de vous aérer ? En plus des interventions, plusieurs stands se tiendront pour vous divertir, vous informer et vous enthousiasmer ! Nous y retrouverons les sportifs d’APA (Activités physiques adaptées) qui nous expliqueront leur pratique et leur complémentarité avec la psychomotricité. Mais aussi la très sympathique boutique « C’est le jeu » qui vous proposera de nombreux jeux aussi ludiques qu’éducatifs, pour le bonheur de nos patients (et le nôtre aussi !). La librairie Privat sélectionnera un panel de livres autour de l’Autisme et de la psychomotricité (de bonnes lectures en perspective pour le mémoire !).

L’Association Toulousaine des Etudiants en Psychomotricité et L’IFP sont donc heureux d’organiser pour vous étudiants et professionnels la 18ème édition de la JTP qui aura lieu à TOULOUSE dans les locaux de l’université PAUL SABATIER.

Rendez-vous le : SAMEDI 21 MAI 2016

Nous vous attendons avec impatience, nombreux et motivés !
Tarifs étudiants : 8 Euros
Contact : [email protected]
Les inscriptions débuteront prochainement

Marine, Marie & Cécile

LYON

L’IFP Lyonnais

L’école de psychomotricité de Lyon se trouve à Rockefeller, métro Grande Blanche (ligne D) à 20 minute environ du centre (Bellecour) en métro. Les cours sont dispensés dans les locaux de la faculté de médecine de Rockefeller.

Orientation de l’école
On peut distinguer deux grandes orientations en psychomotricité :

  • L’orientation rééducatrice qui vise plutôt le perfectionnement des gestes, des techniques. Elle concerne notamment l’aide à la graphomotricité, aux pratiques sportives…
  • L’orientation psychologique qui vise plutôt le bien-être du patient dans sa vie quotidienne, en prenant en compte ses difficultés. L’institut de Lyon est plutôt orienté sur la pratique thérapeutique et psychologique. Plutôt d’obédience freudienne, la formation porte beaucoup d’attention aux troubles psychologiques… Dans les travaux dirigés, les étudiants doivent alors expérimenter de nombreuses situations, apprendre leurs limites et s’y confronter. Il est alors normal que certains se remettent en questions et traversent des moments de doutes. Mais, ne vous inquiétez pas, ceci est normal. Car pour être un bon psychomotricien, il faut d’abords apprendre à se connaître pour ensuite pouvoir découvrir et aider nos patients.

ELP : Etudiants Lyonnais en Psychomotricité
Il était une fois, il y a vingt-cinq ans de cela, des étudiants en psychomotricité qui sacrifièrent tous leurs bambous pour se réchauffer durant un mois de février glacial. Mais une fois tous brûlés, il fallut trouver une alternative… Ils envoyèrent un HELP de détresse appelant tous les étudiants psychomot’

Lyonnais à un investissement corporel et un toucher chaleur. Une crispation de stylo plus tard, ELP fut créé.

Une asso pour les unir tous
Après un démarrage un peu lent, notre nouveau bureau est aujourd’hui au taquet : nous nous investissons (corporellement, tels de bons psychomot) pour que la formation se déroule au mieux pour tous. Le bureau est principalement composé de 1ères années (oh, des bébés psychomot, trop mignon ♥), soutenu (cf. holding de Winnicott) par deux 2èmes années et une représentante des 3A.

Par ailleurs, il diversifie avec une espèce rare : un garçon (#cédille #réformeorthographe).

Bambous, balles à picots, sorties, soirées (avec modération, évidemment…), solidarité et convivialité sont de rigueur !

Le tchi clown : exemple de stage exceptionnel proposé
Un stage exceptionnel : keskessé ?
Ce sont des stages avec des psychomotriciens ou des professionnels / intervenants qui nous font découvrir des pratiques corporelles diverses et variées qui peuvent nous servir pour notre formation et plus tard, avec nos patients. Ces formations ne sont pas comprises dans le cursus de l’école mais elles sont proposées pour une modique somme aux étudiants par ELP (Etudiant Lyonnais en Psychomotricité).

Le t’chi clown se définirait, pour moi, par un dépassement de nos mécanismes perceptifs et moteurs habituels pour atteindre l’authenticité d’un mouvement spontané. Ainsi, nous avons commencé par prendre pleinement conscience de l’espace que nous occupions dans la salle, jusqu’à se représenter l’espace dans notre dos. Il nous fallait alors ouvrir notre champ visuel pour englober tout ce qui nous entourait, jusqu’à distinguer les silhouettes de ceux qui se tenaient à nos côtés.

Après cette étape de préparation, l’exercice a consisté à laisser des traces dans la pièce avec le nez rouge du clown, tenu au bout des doigts. Les formes se dessinaient dans l’air, sur le sol, sans autre but que le mouvement de ce point dans l’espace. La rencontre avec les autres s’est faite de manière très progressive, par le contact de ce nez sur la peau jusqu’à la rencontre imprévue, les yeux fermés dans le noir.

Ce qui m’a beaucoup marqué dans ces exercices de préparation c’était l’incroyable possibilité de mouvement dont chacun d’entre nous a pu faire preuve. Chacun semblait avoir un style qui lui était propre mais qui admettait de grandes variations. Rien ne semblait ni figé, ni immuable. Le rythme propre de chacun pouvait alors s’accélérer, ou se ralentir en fonction de la musique ou des envies, sans que cela ne semble forcé ou réfléchi. Grâce aux exercices sur le souffle, sur des mouvements lents et attentifs, nous avons appris à nous détendre pour faire émerger toutes les petites subtilités du ressenti.

J’ai été également impressionnée par notre capacité à se déplacer dans le noir le plus complet, les yeux fermés pendant huit, puis dix et enfin douze minutes. Les rencontres étaient fréquentes mais, pour ma part, jamais douloureuses ni inquiétantes. J’avais le sentiment de pouvoir découvrir une facette brute, naturelle de ceux que je rencontrais ainsi, dans un parfum, la chaleur d’une main, la douceur d’un tissu... C’était des moments très intimes et, à mon sens très vrai puisque nous n’avions pas à « faire » quelque chose mais juste à être. Marcher, toucher, sentir. Un dialogue très primaire, très simple pouvait avoir lieu dans la découverte de l’autre sans paroles ni vues.

Les exercices d’improvisation étaient l’aboutissement de toutes ces démarches préparatoires. A plusieurs ou seuls, nous devions nous lancer dans un mouvement, né de notre simple envie – ou non – de bouger. Protégé par le nez rouge, nous pouvions exprimer nos émotions, nos désirs, notre fatigue du moment tout en regardant les spectateurs pour partager avec eux ce qui nous traversait. Je pense que cette pratique nous apprend beaucoup de nous-mêmes, dans notre sensorialité et notre motricité propre. En oubliant tout ce qui fait de nous un être social, tenu par des règles, nous pouvons explorer avec beaucoup de liberté une part très primaire du jouer avec, qui commence par jouer avec notre propre corps, avec nos perceptions. Notre corps est ouvert aux relations, tant avec les autres, qu’avec l’environnement lui-même. Il nous permet de trouver un ancrage pour créer quelque chose, pour donner une forme visible et perceptible à ce qui nous habite à l’intérieur.

Marie Guegant
VP communication

2A

LILLE

IFP Lille
Débarquement à Lille !

Lille ? Non j’ai dû me tromper, vous voulez que j’écrive un article sur la capitale du Nord ! Qu’est-ce que je peux bien vous dire !

Euh... 3 mots clés peut être : pluie, pluie et pluie ! Je ne sais quoi écrire pour vous donner l’envie de venir à Lille ! Alors suivez-moi, en route pour un grand voyage sous les yeux d’une élève à l’IFP Raymond Leclercq !

Hé hé salut à toi jeune padawan nordiste ou bien psychomot ! Dans les deux cas tu as tout pour être heureux ! Eh oui n’écoutez plus les préjugés lillois ! Bon d’accord je ne vais pas vous mentir, il pleut, souvent, même très souvent, mais qu’est-ce que la pluie comparée à une promo de psychopotes géniallissime avec qui à toute heure vous pouvez aller siroter une petite bière du Nord ! Le choix tu auras ! Et si tu veux être submergé d’une bonne paranoïa il te faudra de la Delirium !

Au début un peu paumé, tu prendras vite l’habitude de sortir en boîtes car, eh oui, le Nord est tellement pauvre qu’elles sont gratuites ! Alors enfile ta plus belle tenue pour pouvoir pécho comme il se doit à Lille !

Tu pourras également, si la faim te dévore, t’attabler dans un restaurant inscrit dans quoi ? Dans le guide du ch’ti bien évidemment et pouvoir savourer un délicieux et calorique welsh avec la dose de cheddar et de bières ! Ha c’est tout ce qu’on aime ça !

Alors après tout ça, je ne peux que te conseiller de venir faire la fête avec nous dans le Nord ! Alors à bas les préjugés et viens vite en ouigo t’éclater dans le Nord ! Psycho<3

Océane M.

Bienvenue au nouveau BDE de l’IFP Raymond Leclercq de Lille.
Vous allez me dire qu’il est étonnant que personne ne porte de doudoune dans une région où le -10 000° est de rigueur ! Cela s’explique simplement : le nouveau BDE va mettre le feu cette année. En effet, la nouvelle team de Psychomouv’ nous prépare un programme au top ! Je crois entendre dans l’oreillette que les dégustations de bière seront de mise dans nos soirées, pour faire passer une année inoubliable à leurs psychopotes ! Des jeux de toutes sortes viendront égayer la vie de nos 3 folles promos ! Notre célèbre, que dis-je ? notre mémorable et non moins émouvant spectacle de l’IME continuera aussi de distribuer des sourires et de la joie à tout le monde !

Alors n’oubliez pas les visages de ceux qui vous comblerons à Lille cette année !
Partenariat : Marjorie & Inés, nos pipelettes assureront les liens avec nos copains ;
Secrétariat et relai ANEP : Océane et Eloïse écrirons de belles histoires contre le cafard ;
Trésorerie : Floriane & Jessica tiendront les caisses pour sauver nos fesses ;
Communication : Manon & Laurie enflammeront nos soirées avec leurs idées et leur déhanché, Présidence : Chloé & Thibault* pèsent à la prés’ !!! *avec un gars au bureau, la parité est respectée non ?
Alors, quand est-ce qu’on se voit ??? Je vous laisse le choix dans la date ! ;)

A bientôt !!

Emma

Intervention spectaculaire à l’IME

Les traditions sont vectrices de valeurs partagées et éminemment tournées vers un esprit de convivialité. Telles sont les principales raisons qui poussent les étudiants psychomotriciens de Lille à offrir chaque année, un spectacle de Noël digne de ce nom aux enfants de l’IME de Loos.

Actifs, enjoués et volontaires pour n’avoir rien oublié de leur âme d’enfants, les étudiants de 1ère année ont mis tout leur coeur mais aussi tout leur temps à la réalisation de cette représentation annuelle avec le soutien de leurs aînés : les étudiants de seconde année. Les répétitions se sont alors enchaînées le mardi ou mercredi soir suivant les groupes pour finalement donner trois représentations devant les proches, les étudiants et l’administration de l’IFP et enfin devant les enfants de l’IME.

L’histoire
Comme tous les enfants de son âge, Cyprien aime à jouer aux jeux vidéo. Quand un jour, le poste de télévision va le happer. Ce voyage sera pour lui, celui de la découverte de mondes connus jusqu’alors que devant le petit écran. Derrière, l’histoire est tout autre. Plus palpitante.

Elle sera celle de rencontres belles et inoubliables, sachant que le garçonnet va pouvoir aborder de très près ses héros préférés : Mario, Harry Potter, Stars Wars, les Pokémon, les Minions ainsi que les Avengers. Cette création, plus qu’un simple spectacle pour enfants, a été perçue par les étudiants comme le fruit d’une véritable aventure humaine.

Ce projet d’une réalité assumée annuellement sur la scène de l’IME a une fois encore confirmé son succès par l’enthousiasme et les applaudissements nourris des spectateurs. De quoi faire prendre tout son sens à la devise « Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès ; travailler ensemble est la clef de la réussite ».

Manon Vieira

MARSEILLE

Présentation de l’ISRP Marseille  
L’école de l’ISRP Marseille se trouve au sein de l’hôpital Sainte Marguerite, dans les quartiers sud de Marseille à deux pas des calanques et des pinèdes. Entre les parcs, les plages, les calanques, l’île du Frioul (accessible grâce à une navette) ou encore la forêt de Luminy autant vous dire qu’on a de quoi faire pendant notre temps libre !

Pour ce qui est de notre formation, nous avons la chance d’avoir des ateliers de pratiques qui nous permettent de nous initier à différents types de médiations mais, qui font aussi remuer beaucoup de choses sur le plan individuel. Et ça n’est pas toujours simple !

Taï chi, yoga, conscience corporelle, light painting, impro théâtrale, relaxation, danse indienne sont quelques-unes des nombreuses disciplines qui nous offrent la chance l’expérimenter de nombreuses notions évoquées en cours théorique.

 

Notre BDE

Le BDE fait partie d’un PEA (projet extra-académique) que l’on présente à la fin de l’année en exposant les actions accomplies. Nous sommes les EPIM’S.

Les EPIM’S, c’est une équipe qui se renouvelle à chaque début d’année scolaire. Elle est composée d’étudiants de 1ère et de 2ème année qui sont orientés par les anciens membres de 3ème année pour les projets. Ce qui fait le lien entre les 3 promos.

Tout au long de l’année, nous organisons des soirées entre étudiants de l’ISRP.

Nous nous impliquons aussi dans de nombreux partenariats avec d’autres écoles telles que les écoles d’infirmières, d’ergothérapie ou encore Polytech pour favoriser la diversité et échanger.

En début d’année, le BDE organise un week-end d’intégration pour les 1ère année et en fin d’année, un gala digne des plus grands pour fêter le diplôme obtenu des 3ème année.

J’ai décidé de m’engager pour la communication du BDE car le milieu associatif m’attirait. Et je ne me suis pas trompée : travailler en équipe pour mener des projets et voir les étudiants profiter est absolument génial.

Quand nous faisons des réunions entre membres du BDE, chacun ramène à boire ou à manger et ça contribue aussi à nous rapprocher et nous passons de super moments. Au final, nous profitons tous ensemble et nous nous faisons des souvenirs qui ne sont pas prêts de disparaître.

Fiona

LES PEA Marseillais

Les Projets Extras Académiques ont été mis en place à l’IRSP Marseille afin de promouvoir la psychomotricité, et de favoriser les échanges et l’implication des étudiants dans le milieu associatif.

Ces projets font partie intégrante du programme et sont évalués en fin d’année. Ils permettent aussi aux étudiants de première, deuxième et troisième année de travailler sur des projets communs.

Un PEA est reconductible chaque année et peut-être concrétisé sur une deux ou trois années.

On trouve toute sorte de PEA !

Il y a ceux qui se consacrent particulièrement à la formation comme le PEA salon (qui consiste à faire la promotion de la formation sur les salons étudiants…) et le PEA des alternants (sur l’alternance possible en deuxième et troisième année).

Ceux qui s’intéressent à la vie étudiante comme le BDE, les ASPIMS : notre association étudiante, ou encore le JEPP (journal des étudiants phocéens en psychomotricité)...

D’autres encore favorisent la recherche en s’intéressant à une médiation particulière ou un environnement dans lequel la psychomotricité pourrait apporter un regard neuf. Certains se tournent alors vers des activités diverses tels que l’équitation, la spéléologie … ou encore vers des corps de métier étrangers à la psychomotricité.

D’autres encore s’associent à des oeuvres humanitaires ou caritatives déjà très présentes dans le paysage associatif, comme le téléthon. Et puis il y a ceux qui veulent promouvoir la psychomotricité hors de nos frontières comme psychotrot ou psychomotaï.

Et pour bien faire, laissons les se présenter eux-mêmes !

PSYCHOTROT

Bonjour à tous ! Nous sommes « Psychotrot », une association créée dans le but de réaliser des projets de solidarité internationale en Asie et en Amérique du Sud. Nos projets sont encore tout nouveaux et nous commençons nos actions d’autofinancements.

Si vous avez des tuyaux pour nous aider (contacts, financements, aide particulière pour les projets), n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse [email protected] ou directement par facebook (Psychotrot).

SPELEOMOT

Bonjour ! Nous, nous sommes un groupe de six 1ère année (Camille, Emeline, Fanny, Aline et Mallaurie) et nous utilisons la spéléologie comme médiation psychomotrice. Car, pour nous, le milieu souterrain est un environnement particulier, faisant appel à l’intime, empreint de silence et dans lequel nos repères, notre perception de l’espace et du temps sont modifiés. D’autres sens interviennent aussi et offrent la possibilité d’évoluer et d’appréhender l’espace d’une toute autre manière. L’esprit et le corps sont donc soumis à des épreuves chargées en émotions. C’est donc une parfaite opportunité pour travailler de nombreuses notions psychomotrices.

Par la suite, nous avons souhaité partager cette expérience avec des patients. Une sortie avec une classe de SEGPA (Sections d’enseignement général et professionnel adapté) fut donc organisée. Ce fut très enrichissant autant sur le plan professionnel que personnel !

PEA PASSERELLE

Ce PEA consiste à soutenir les autres PEA dans la logistique et la coordination de projets. Nous proposons de communiquer sur les PEA existants et utilisons notre réseau pour que les étudiants puissent rencontrer les personnes qui pourraient les aider dans leurs projets. Nous montons aussi des projets de formation sur différentes thématiques. Nous cherchons donc à faire intervenir des psychomotriciens tels M. Coeman et Mme Potel, lors de ces formations. Ouvertes aux étudiants, nous aimerions aussi pouvoir, par la suite, partager ces expériences avec des patients pour poursuivre notre cheminement.

Mathilde, qui fait partie de notre groupe, propose son témoignage : « Bonjour, je suis en première année de psychomotricité et ces études me plaisent énormément ! Cette année je me suis lancée dans deux PEA, notamment celui de la passerelle. Dans ce PEA, nous avons l’intention de demander à Madame Potel de descendre dans le sud pour intervenir auprès d’un groupe d’une vingtaine d’étudiant sur le thème : « Eduquer par l’eau », qui se déroulera bien sûr dans une piscine de notre région. Cette intervention de madame Potel permettra aux étudiants d’apprendre mais aussi profiter de techniques et connaissances d’une psychomotricienne.

L’eau est une médiation très souvent utilisée en psychomotricité, mais il en existe plein d’autres : l’équitation, l’écriture, les jeux de ballons, les jeux de rôle…

Il me semble donc important de permettre aux étudiants de se former sur le plus de médiations possibles pour que chacun puisse trouver sa voie et puisse aussi parler plus spécifiquement des médiations qu’ils proposeront, à leurs futurs patients. »

LE JEPP : Journal des Etudiants Phocéens en Psychomotricité

Le JEPP fait partie d’un PEA. C’est un journal présentant des médiations, des témoignages, mais aussi des films, des livres autour de la psychomotricité autant sur le plan professionnel que culturel.

En vue de l’approche d’une nouvelle année, le JEPP s’est offert un nouveau look ! Nous l’avons voulu riche, ouvert, coloré, soigné, pour que vous preniez autant de plaisir à le lire que nous en avons pris à le construire. Pour choisir les contenus, nous avons simplement ouvert grands nos yeux, nos oreilles, tous nos sens et avons trouvé de la psychomotricité partout autour de nous.

Mais, au fait, qui est-ce « nous » ? Ce sont Elina et Nicolas, tous deux en troisième année, habitués du lieu, car ils participaient déjà à l’écriture du journal l’an passé. Et ce sont également Cécile, Maëva et Marion, trois étudiantes de première année déjà passionnées par leur futur métier.

Cécile, Élina, Maëva,Marion, Nicolas

VELO SAPIENS ASSO

Salut les psychomot’, venez vous détendre autour d’une petite balade à vélo avec l’asso Vélo Sapiens. Les balades se déroulent tous les deuxièmes dimanches du mois et il y en a pour tous les goûts, amateurs y compris :’)

C’est aussi l’occasion de redécouvrir Marseille et ses environs, vous ne le regretterez pas ! Nous organisons aussi des apéros mensuels participatifs le dernier jeudi du mois. Et au passage nous sommes un atelier participatif de réparations. Vous pourrez aussi y trouver des vélos d’occasions (ouvert les mercredi et samedi de 15 à 19H, 1 bis rue Farjon 13001 Marseille).

Toutes les infos sur notre face de bouk : Vélo Sapiens. On vous attend vous et vos potes, la bise !

Audrey

L’ISRP Marseille, c’est aussi un club de foot !

Sévissant dans le fabuleux championnat universitaire, « L’ISRP Football Club », en fait frémir plus d’un. Aujourd’hui 4ème du classement avec deux matchs de retard, notre équipe est constituée des meilleurs ! Nous vous invitons à venir découvrir cette superbe équipe sur notre page facebook « ISRP FC » et à travers LA vidéo du « REVEIL DE LA FORCE » (https://www.youtube.com/watch?v=AVKSjPEVCBM&feature=youtu.be) Il est temps de rétablir l’ordre au sein de psychomotricia et d’affronter notre destin. Les STAPS de Dopagetopia, les journalistes de ANPEtopia et les ingénieurs de Biactoltopia ne résisteront pas à la force qui est en nous.

PARIS

BDE ISRP Paris 

En des temps lointains à l’ISRP, n’avait pas de BDE fixe… Certaines années les soirées et événements florissaient, d’autres années, c’était le calme plat. Seul le Gala perdurait chaque année.

Les étudiants organisateurs du Gala étaient choisis en première année courant février et avaient la lourde charge d’organiser cette belle soirée qui existe encore aujourd’hui.

En 2006, une bande de jeunes fougueux décidèrent alors de créer l’association ‘’Psychopotes‘’ qui deviendra plus tard en 2012 le ‘’BDE de l’ISRP‘’ tel qu’on le connait aujourd’hui.

Voila maintenant 10 ans que le BDE fait vivre cette école au gré des saisons !

Actuellement, le BDE de l’ISRP Paris est composé de 9 anciens membres du BDE, tous de deuxième année, et de 11 petits nouveaux, fraîchement élus début février. Ils viennent tous de première année.

Notre particularité étant que notre élection se fait plus tard que dans la majorité des IFP. Ce système nous permet de former les nouveaux arrivants de première année durant quelques mois en les accompagnants pleinement dans différents événements qu’ils réalisent, jusqu’à ce qu’ils soient prêts à voler de leurs propres ailes !

Nos deux plus grands événements sont le WEI de début d’année et le Gala de fin d’année (encore et toujours), ils réunissent chacun plus de 600 personnes. Cette foule étant composée d’élèves, de partenaires, de professeurs et notre cher directeur !

A plus petite mesure nous proposons aussi traditionnellement une soirée pour halloween souvent en partenariat avec d’autres écoles (de mec pour notre plus grand plaisir), une soirée de noël réunissant cette grande famille de l’ISRP, la soirée I1 entièrement gérée par les premières années élus et toutes les autres soirées d’écoles partenaires.

Nous travaillons aussi pour faire vivre l’école au maximum avec des décorations de Noël installées dans toute l’école, une journée du mauvais goût pour carnaval et une chasse aux bonbons pour Pâques. Mais aussi ce que nous appelons les ‘’psychopotes got’s talent‘’ qui est un « Incroyable Talent » de l’ISRP où les étudiants présentent tout leur savoir-faire musicaux, artistiques et surtout comiques !

L’équipe du BDE de l’ISRP Paris

Perdu au fin fond de la forêt, l’Institut de Formation de Meulan-Les-Mureaux forme de jeunes psychomotriciens dans un cadre magnifique où se côtoient biches, sangliers et étudiants. Dans ce petit village forestier, les étudiants profitent des structures du CHIMM (salle de spectacle, dojo, piscine…) pour apprendre la psychomotricité aux niveaux théorique et pratique.

De nombreuses médiations sont pratiquées : sporthérapie, musicothérapie, dancethérapie, Qi kong… Tout est là pour s’épanouir pleinement dans ses études. De plus, un foyer étudiant est en cours d’habilitation pour permettre aux étudiants de tout le campus (Ergothérapeute, Kinésithérapeute, Infirmiers…) de se retrouver comme ils le souhaitent.

Malgré une ville peu dynamique, l’ensemble des étudiants et les différents BDE ont su créer une vie étudiante dynamique. Il n’est pas rare de tomber à l’improviste sur des ventes de toutes sortes de gourmandises, des personnes déguisées et activités en tous genres. Tout cela, bien sûr, dans la joie et la bonne humeur !

Alors n’hésitez pas à passer, les Magic’Mots (1ère année), les Marmots (2ème année) et les Pop’Mot (3ème année) seraient ravis de vous accueillir aux Mureaux !!!

Hugo Do

Les Z’activmots

Un nouveau bureau pour un nouveau logo (un peu violent certes, mais le rose atténue le tout <3) ! Nous sommes 9 à assurer l’ambiance et les évents ! (wahouuu ils sont bogoss !)

Depuis peu, en plus de l’ANEP nous sommes également devenus adhérents à l’interrasos (fédération qui réunit toutes les associations de l’université de Saint Quentin) ! Ce qui a valu une petite soirée parisienne avec de nombreux étudiants de nombreuses filières !

Les Z’activmots, c’est aussi partager des moments conviviaux autour d’un repas de Noël et d’une bonne galette !

Prochainement me direz-vous ? La Francilienne ! Soirée qui réunit les BDE d’île-de-France et donc ses étudiants, le 26 février ! Si vous êtes de passage n’hésitez pas à venir ! En avril une petite soirée avec les ergothérapeutes de notre campus en projet …

Et pleins d’autres projets en cours d’élaboration et qui j’espère verront le jour ! (Pâques, sorties culturelles, désintégration, préparation du prochain WEI, café psychomot …). A bientôt !

Maxime Chevalier
Président des Z’activmot

L’atelier du soir
Cette année, aux Mureaux, on a décidé de passer du bon temps en s’amusant ! Oubliez les cours, les dossiers à rendre, les sous du loyer, les partiels qui arrivent trop tôt, trop vite. Nous, on se grimpe dessus, on jette des objets en l’air, on roule, on tourne... Psychomotement parlant, on améliore nos coordinations, notre perception de notre schéma corporel, sans oublier notre petit équilibre… Bref, on fait du cirque !

Cette idée est apparu comme un lapin dans un chapeau par quelques Magic’mot (première année) peu après la rentrée. Il suffit d’un rien, juste d’une idée, de personnes motivées, une administration qui suit et paf, le tour est joué. Pour les ustensiles, les Magic’mot ont eu de la chance, dans leur grand chapeau attendait bien confortablement installé, un p’tit jongleur, lui aussi Magic’mot. Balles, massues, bolas et autres trésors se dissimulaient dans ses larges poches. Au fin fond de ce chapeau se trouvait aussi une danseuse, une acrobate, des gymnastes, un slameur et plein d’autres talents encore à découvrir. Après tout cela, il a fallu faire apparaître un endroit parfait pour jouer. Tout d’abord, la salle de motricité du campus est sortie de notre chapeau. Oui, notre chapeau est énorme. Mais les Magic’mot avaient besoin d’un lieu plus confortable, plus matelassé pour mieux se relaxer. Chabadi, chabada, un coup de baguette magique et hop, nous sommes apparus au dojo. Le bonheur était complet, jongleurs, acrobates pouvaient évoluer à leur guise, sans danger, sans se piétiner deux jours par semaine. Les Magic’mot aiment partager leurs différents tours et ont invité les autres formations à les rejoindre dans leur périple qui ne fait que commencer.

Car aux Mureaux, nous sommes les psychomot’ les plus show !!

Projet art du spectacle SSR
Des étudiants en 2ème année à la rencontre des personnes en soin de suite et  réadaptation (SSR)…

Durant nos cours d’Art de la scène, où nous avons travaillé l’improvisation, la représentation théâtrale, les percussions corporelles, les contes… nous avons voulu partager notre expérience et rendre cela plus concret !

Mais comment ?
Au Mureaux, nous avons la chance d’être dans un hôpital. Il était alors évident que nous devions profiter de cette chance pour transmettre nos connaissances et expériences aux personnes âgées du SSR (Soin de Suite et Réadaptation) !

Nous avons donc très rapidement pris contact avec le SSR qui fut très enjoué de notre proposition d’intervention. Nous nous sommes donc préparés.

Pour commencer, nous avons formé plusieurs groupes pour que notre intervention puisse se faire auprès de personnes âgées mais aussi auprès des patients immobilisés dans leur chambre. Nous avons ensuite commencé un travail sur le conte et le chant avec notre intervenant, en essayant de l’adapter le plus possible à une population âgée.

Comment ça s’est déroulé ?
L’intervention fut constituée de trois séances d’une durée de 2h à 3h (temps de l’installation + temps d’échange et de rencontre avec les patients dans leur chambre puis présentation de l’après-midi en leur proposant de participer à l’activité en collectivité ou en chambre).

Les séances étaient animées par chacun des groupes à tour de rôle, avec une continuité et une évolution des animations proposées.

C’est parti !
Le jour J, chaque groupe se lança dans les différentes animations qu’ils avaient prévues. Certains animaient des moments collectifs tandis que d’autres se rendaient par binômes dans les chambres des patients.

L’activité collective commençait par une présentation rythmique de chaque personne présente en tapant dans ses mains (« bonjour je m’appelle… »). Ensuite s’enchaînait des contes musicaux, des découvertes et manipulations d’instruments, des chants connus repris à l’unisson.

Durant l’atelier, une relation s’est instaurée entre les patients et nous-mêmes. Les interactions furent très intéressantes et constructives : l’utilisation d’instruments nouveaux associés à des encouragements verbaux de notre part a permis une auto-revalorisation des patients. De plus, les patients ont apprécié d’avoir l’occasion de sortir de leur chambre pour des activités innovantes et d’y prendre du plaisir.

Au cours de cette séance, nombreux furent les domaines psychomoteurs pratiqués : • Coordinations. • Préhension.

  • Tonus / Posture.
  • Rythme, temporalité.
  • Résonnance, espace de la pièce.
  • Perceptions tactiles, auditives…
  • Aspects cognitifs du mouvement avec : initiation, planification, anticipation…
  • Communications non-verbales.
  • Revalorisation sociale.

Cependant, les groupes se sont préparés sans connaissance préalable des patients. Le projet s’est donc construit autour d’une activité et non autour de personne spécifique. Or, nous avons remarqué qu’ils étaient plus actifs en chambre individuelle qu’en collectivité. Ils se sentaient plus concerné par l’activité qui était souvent mieux adaptées à leurs propres capacités. Ces interventions ont donc été l’opportunité de créer des relations privilégiées.

A la fin, nous avons rencontré les patients et leurs familles présentent qui semblaient réceptifs et satisfaits de notre intervention.

« Ce fut une merveilleuse expérience ! »

Nous, les étudiants, ressortons grandit de cette expérience, alors que ce fut la première fois pour certains en SSR. Cela nous a permis d’avoir un premier contact avec cette population et de mettre en lien nos cours théoriques.

Lors de notre première intervention, nous avons commencé sur une présentation « spectacle » (1er groupe) mais au fur à mesure des séances, les groupes se réadaptaient. Nous avons essayé d’axer nos activités en lien avec le métier de psychomotricien en réfléchissant sur les domaines que l’on pouvait travailler… davantage sur la relation et non la simple présentation d’un spectacle ou d’animation.

Pour les patients, nos interventions ont certainement touché quelques personnes, comme elles nous l’ont exprimés, cela change d’un quotidien (parfois difficile). Nous avons constaté que les mêmes patients sont revenus des séances à l’autre. Les activités en groupe ont été l’occasion pour les patients de sortir de leur chambre, de leur solitude et de partager avec nous et d’autres voisins de chambre de nouvelles expériences. Cela a également permis aux patients de se rendre compte qu’ils ont encore des capacités et ont contribué à améliorer leur estime de soi.

En individuel, nous partagions un moment plus personnel, de voyage dans son passé, de ses souvenirs à travers des sensations corporelles et olfactives ce qui permettait un travail de mémoire. Il s’agissait d’accompagner le patient dans les liens qu’il tisse entre la perception de son corps et sa vie psychique.

Nous serons contents de perpétuer ce projet, et il serait peut-être intéressant de réfléchir à ce qu’il dure dans le temps. Cela permettrait d’établir davantage de contact avec le personnel et d’entretenir la relation patients-étudiants. Il nous parait important à l’avenir d’approfondir le projet avec des objectifs plus définis, pour ne pas tomber dans l’animation.

L’idée était de permettre à chacun d’apprivoiser le corps vieilli, handicapé pour aider la personne âgée ou malade à se le réapproprier grâce à l’utilisation d’instruments lors de contes, chants et de discussions. En effet, le psychomotricien est là pour aider les personnes âgées dans l’acceptation des pertes tant corporelles, physiques et psychosociales. Pour cela, il cherche à revaloriser les compétences restantes et la personne.

De plus, ce projet a permis de porter toute notre classe, toute notre promo, à réfléchir, s’unir, s’entendre et s’adapter pour aboutir à la réalisation de nos après-midis en SRR. Nous sommes contents de ce projet et vous encourageons à rencontrer des populations et partager ce que l’on apprend ! 

Les Marmot’s (les deuxièmes années de l’IFP de Meulan-Les Mureaux)

MULHOUSE

Et à Mulhouse ?

En 2015 l’école a sorti sa première fournée de diplômés.

Les premiers diplômes d’État de psychomotricien ont été délivrés le mardi 30 juin 2015 à l’IFMS de Mulhouse.

Chaude ambiance, applaudissements, tenues de gala… tous les éléments étaient réunis pour honorer cette promotion d’étudiants de 3ème année, qui s’était auto proclamée la « promo crash-test ».

La remise des diplômes s’est suivie d’un spectacle de cirque en musique préparé par les diplômés et chapoté par les professeurs de cirque de « la compagnie des Nazes ». Elle s’est clôturée par un repas en pleine nature avec les amis et la famille.

Rassurons-nous, de l’Alsace à la Champagne-Ardenne en passant par la Bourgogne, la Franche- Comté et la Lorraine, aujourd’hui, tous sont entrés dans la vie active. Finie la vie d’étudiant !!

Ils ont promis cependant de venir nous retrouver et de nous raconter… à l’occasion de nos soirées « apéro-dinatoires et champagne » … La relève est assurée.

Effectivement, une promo s’en va, une autre arrive ! Voilà donc 25 nouveaux qui arrivent avec la même appréhension de vivre sur Mulhouse… et qui, au fil des mois, découvrent de belles surprises !!!

Entre le weekend d’intégration, les repas entre amis, la neige, le fameux Baeckeofe et les petits cadeaux de noël… ils sont heureux !

L’école leur a fait découvrir l’eutonie « c’est trop bizarre », la danse, l’art du cirque « trop cool les profs !! », la terre, le Qi Gong et Taï-chi, la praxéologie (aïe les muscles…) et le judo.

Vous pourrez voir au travers des photos que le cirque peut parfois mettre à l’épreuve notre corps !

           Chloé alias Skip : petite mais puissante !!                                            Il faut savoir tester ses limites, même un lendemain de soirée.

Et parce que nous avons tous aujourd’hui l’âme alsacienne, voici ci-contre une recette d’un fameux plat traditionnel

Lisa THIRIET

Tendre viande sur lit de choux aromatisés et ses petites patates rondes

Ingrédients
1 kg de choux en croûte
350 g de porcinet fumé
350 g de palette de bois
Une dizaine de knacks-à-qui
1 cuillère à soupe de seins doux
2 gousses d’AIE
1 feuille de la coiffe du Jules César
10 grains de la Genevièvre
1 oignon piqué de 2 clous de birofle
2 bouteilles de Riesling pas cher pas cher
350 g de patatas
4 saucisses de Strasbourg bien fermes
1 Jesus de Morteau

Préparation
Ouvrir la 1ère bouteille. Cul sec. Ouvrir la 2ème bouteille.
Rincer le chou en croute sous la vinasse froide, l’égoutter, puis en verser la moitié dans une marmite.

Incorporer ensuite le porcinet et la palette en bois, puis les recouvrir du reste de chou en croute. Ajouter le sein doux ou dur, les gousses d’ail non pelées, du gravier, le genièvre, le bouquet garni et l’oignon piqué. Arroser le tout de vin blanc et laisser cuire à couvert à feu doux pendant 1 heure. Ajouter les pommes d’api ou de reinette et poursuivre la cuisson pendant 50 minutes puis incorporer les saucisses bien grosses (attention la taille ne fait pas le goût). Poursuivre la cuisson encore 10 minutes, ajouter les longues et fines knacks-à-qui, vous aurez des saucisses bien juteuses. Reste plus qu’à savourer ! Slurpppp

Recette pensée par Romane GARNIER JOLAIN et les PM1

Le 2ème Congrès de l’ANEP

Le 25 octobre dernier, a eu lieu le 2ème Congrès de l’ANEP. Les étudiants de Mulhouse et leur BDE : l’Association des Psychomotriciens Etudiants du Grand Est (APEGE) étaient heureux et fiers d’accueillir étudiants et professionnels psychomotriciens venus de toute la France dans leurs locaux fraîchement rénovés. Cela était aussi l’occasion de renforcer les liens entre l’ANEP et les étudiants de Mulhouse, à travers l’organisation d’un évènement commun !

L’an passé, en 2014, le Congrès de l’ANEP avait eu lieu à l’l’IFP des Mureaux, sur le thème de l’oncologie et de la psychomotricité. C’est non sans plaisir que cette 2ème édition, sur la psychomotricité et la psychiatrie adulte, a presque triplé les effectifs de participants, puisque près de 110 personnes étaient présentes pour assister à ce colloque ! UN GRAND MERCI À TOUS !

Après un discours riche et dynamisant du président d’honneur Dr GRETH, chef de service de psychiatrie du Groupe Hospitalier Régional Mulhouse Sud Alsace, la matinée était lancée et l’heure était aux interventions théoriques.

L’équipe de psychomotriciens du Centre Hospitalier de Rouffach (composée de Laurent TREILLET, Marion RIEG, Isabelle SIEGRIST et Nathalie ANNENHEIM) a pu nousprésenter les derniers résultats de leurs recherches, ayant pour but d’établir un profil psychomoteur spécifique des adultes atteints de schizophrénie, dépression ou troubles schizo-affectifs. Une intervention innovante et réalisée avec précision et rigueur, qui semble avoir beaucoup plu à l’auditoire.

François GUERDER, jeune diplômé de la première promotion de psychomotriciens de l’IFP de Mulhouse, a vécu sa première expérience de conférencier - à la suite de ceux qui étaient auparavant ses professeurs - en présentant avec finesse son mémoire sur « l’abord du mime en psychomotricité avec des personnes atteintes de schizophrénie », suscitant un grand intérêt de l’auditoire.

Amélie PETIT, psychomotricienne ayant exercé à l’hôpital Saint Anne de Satrouville, nous a conté avec émotion et richesse son expérience d’un week-end thérapeutique auprès de patients en psychiatrie adulte.

Pour finir cette matinée, la dynamique Justine LAZARO nous a partagé son expérience atypique de psychomotricienne dans une Unité d’Hébergement Spécialement Aménagée dans le centre pénitentiaire de Lyon, Le Vinatier.

Ces interventions théoriques furent chacune suivies d’échanges fructueux, de nombreux partages et questionnements, débattus sous la pertinente modération d’Odile FRAND, psychomotricienne d’expérience, formatrice à l’Institut Interrégional de Formation en Psychomotricité de Mulhouse.

Alors que l’auditoire questionnait avec intérêt les intervenants de la matinée, les nombreuses petites mains du Comité d’Organisation, composé d’étudiants mulhousiens, s’affairaient à préparer le repas pour ravir les papilles des participants. Et cela fut une franche réussite ! Un grand merci à eux sans qui cette journée n’aurait pu être si bien réussie ! Merci pour leur participation à l’organisation, pour le repas qu’ils ont confectionné de toutes pièces, et pour leur dynamisme.

Après ce moment informel riche de partage et d’émotions, la deuxième partie de la journée proposait divers ateliers permettant aux conférenciers et participants d’utiliser leur outil médiateur principal : le corps.

Caroline GURY, psychomotricienne dans un Etablissement Public de Santé Mentale à Lille, a pu proposer un atelier pratique autour des différentes techniques de portage, mobilisations passives, toucher thérapeutique en y détaillant leurs impacts sur la prise de conscience de l’enveloppe psycho-corporelle, adaptée à des sujets présentant un trouble psychiatrique.

Fort de sa grande expérience et de ses multiples casquettes, Laurent TREILLET, conférencier du matin, a proposé lors de l’après-midi un atelier de sensibilisation à l’intérêt des techniques de jeu d’acteur pour le psychomotricien.

Catherine SCHAFFAR, psychomotricienne et professeur d’eutonie Gerda ALEXANDER®, également formatrice à l’IFP de Mulhouse, a proposé un atelier intitulé : « Ce qu’il faut c’est apprendre, un peu plus chaque jour, qu’on est ce corps sur lequel on peut prendre appui ».

En parallèle de ces ateliers, Raoul KRYCHOWSKI, infirmier diplômé en thérapie cognitivo-comportementale a présenté les fondements de sa pratique et sa complémentarité avec la psychomotricité, soulevant des débats et de nombreux questionnements chez les participants. Cette journée fut riche d’apprentissage, d’échange et de partage, entre professionnels de santé et étudiants, mais aussi formateurs, syndicats professionnels, associations étudiantes et partenaires.

Nous tenons à remercier l’ensemble des intervenants cités ci-dessus pour la richesse de leur présentation, leur disponibilité, et leur participation au Congrès de l’ANEP.

Un grand merci au Groupement Hospitalier Mulhouse Sud Alsace pour la mise à disposition des locaux de l’IFP de Mulhouse, ainsi qu’à l’équipe pédagogique de l’institut qui a pu nous épauler, et notamment à Sabine KEGLER.

Merci également à notre Comité Scientifique, composé de Julie LOBBE, Odile FRAND, Edith KURSTEINER et Hervé FUETERRER, qui a su nous guider dans le choix des intervenants, nous conseiller sur l’organisation logistique et traditionnelle d’un congrès de psychomotricité et nous soutenir dans les bons et les mauvais moments.

Nous voulions également remercier la Fédération Française des Psychomotriciens (FFP) ayant répondu présente à notre invitation, la MACSF et les éditions De Boeck, partenaires de l’ANEP.

De plus, nous tenons à adresser nos remerciements à l’ensemble des étudiants du Comité d’Organisation pour leur investissement avant, pendant et après le Congrès, qui ont su être disponibles, et rendre à tous la journée agréable et réussie. Enfin le dernier MERCI est pour vous tous, participants du congrès, qui avez contribué à la réussite de cet évènement ! Nous souhaitons une longue vie au Congrès de l’ANEP !

La prochaine édition aura lieu fin octobre à Toulouse ! On vous y attend nombreux !

Pour l’ANEP, Et parce que l’ANEP, C’EST VOUS !
Marine Hanssler et Marie Walter

BORDEAUX

BORDEAUX Dans L’MOOVE !!

Journée de l’ABEP

L’école de Psychomotricité de Bordeaux se bouge et se motive pour créer des évènements et faire perdurer les traditions. Pour cela, l’Association Bordelaise des Etudiants en Psychomotricité organise le samedi 19 mars 2016, sa 21ème journée de l’ABEP. Cette année, les étudiants adhérents ont voté le thème de la « Psychomotricité à l’international ».

Chaque année, la journée commence par un mot d’accueil de la part du directeur de l’IFP de Bordeaux, Monsieur Denis GRABOT. Généralement, il officialise et déclare le début de cette journée par un petit discours. Marion FAUTOUS, présidente de l’ABEP, prendra alors le relais pour souhaiter la bienvenue aux étudiants et à toutes les personnes qui seront présentes pour cet événement. En effet, cette journée attire aussi bien des étudiants en psychomotricité que des professionnels, ou encore des étudiants curieux qui sont les bienvenus pour discuter, se rencontrer et connaître un peu plus notre métier, en l’occurrence, à l’international.

Pour le déroulement de la journée, l’Asso s’occupe de tout. Elle commence par offrir à ses participants un petit déjeuner, pour bien s’éveiller et pouvoir profiter pleinement de la journée. Ensuite, des étudiants de l’école participants à un atelier personnel de théâtre avec deux psychomotriciens pourront ponctuer l’événement par des petits intermèdes théâtraux entre les différentes interventions autour du thème.

Les intervenants présentent leur pratique sous forme de conférence, et racontent leur expérience, leur vécu et les particularités de celleci. Souvent la matinée est plutôt théorique, avec des débats et des échanges entre les intervenants et les intéressés.

Au moment du repas, tout le monde se retrouve pour manger ensemble afin de pouvoir une fois de plus discuter, échanger et comparer les pratiques, ce qui rend cette journée riche, agréable, conviviale, et très instructive. Le prix du déjeuner est compris dans le tarif d’inscription de la journée.

L’après-midi, par petits groupes, s’effectue une mise en situation de ce qui a été présenté dans la matinée. Les intervenants permettent aux participants d’expérimenter et de découvrir les pratiques afin de sentir, d’observer, de s’ouvrir à de nouvelles sensations, émotions et représentations, telles qu’elles sont à l’international.

La journée se conclut par un petit pot et un dernier moment d’échanges sur les différents ressentis, pendant que les intervenants présentent des ouvrages, proposent des stages de formation, de nouvelles conférences ou des ateliers.

Pour s’inscrire, rien de plus simple : direction l’ABEP ! Décroche ton téléphone, envoie un mail, ou viens nous voir directement à l’IFP. Les inscriptions se font auprès de l’association par mail, téléphone ou directement à l’IFP où on croise tous les jours des membres du bureau. Un formulaire sera à remplir et à envoyer à l’ABEP par mail ou courrier, ainsi qu’un chèque faisant foi d’inscription. Les tarifs ne sont pas encore définis mais L’ABEP les diffusera dès que possible, et fait en sorte que tout le monde puisse participer à ce « voyage ».

A très vite sur des événements, conférences, congrès, et pourquoi pas la journée de l’ABEP !

La Solidarité à Bordeaux
Projets de solidarité internationale
« Rien n’est plus précieux que le voyage pour nourrir un sentiment de plénitude spirituelle et organique »

L’école de Bordeaux abrite de nombreux projets de solidarité internationale. Chaque année, une bonne partie des étudiants de l’école se mobilisent et partent à l’aventure pour faire connaître la psychomotricité à l’étranger, découvrir de nouvelles pratiques, et aider à une échelle d’étudiants des populations défavorisées. Ces projets ont pour but de sensibiliser les personnes et habitants à des notions clés de la psychomotricité. Ils permettent une prise de conscience en ce qui concerne le corps : porte d’accès à des sensations, des émotions et des représentations qui sont mises en mot ou en forme par l’esprit.

Il y a tout d’abord l’association « Jeux de Mot’ », qui, en partenariat avec une école Bordelaise, se déplace une nouvelle fois au Maroc, après les derniers examens du mois de mai, pour pouvoir intervenir auprès d’enfants en difficulté pendant la période de scolarité et effectuer un véritable échange interculturel.

Des lamatons reprennent le projet « Peru’Main » (créé l’année précédente par 4 jeunes très motivées), pour aller au Pérou, rencontrer des enfants dans une fondation, et partager leur quotidien pendant l’été. Au programme, des danses, des grands jeux, de la relaxation, du rythme et des ateliers divers autour des grands thèmes de la psychomotricité, mais aussi un échange interculturel. Les enfants sont impatients de voir revenir les français !

Le projet « Nepal’M » est repris dynamiquement cette année par une équipe qui se rendra au Népal cet été afin d’affronter les moustiques et la bonne humeur d’Ajab, directeur de leur école partenaire, et les écoliers. Un travail au préalable est indispensable pour aménager des ateliers psychomoteurs une fois sur place. La découverte d’une culture est une des nombreuses motivations des étudiants, qui en reviennent transformés.

D’autres se préparent pour 3 semaines d’intervention avec l’association toulousaine APOR, et vont dans une maison de retraite et surtout dans des orphelinats roumains, afin de rencontrer des enfants présentant différentes formes de handicaps et de maladies et qui en été, manquent cruellement de situations stimulantes.

Tous ces projets ne pourraient être réalisables sans la motivation et la détermination des étudiants, qui est nourrie par le soutien de l’université, des professeurs et de l’administration de l’IFP de Bordeaux, et la participation des proches, des amis, et de généreuses personnes sensibles à la cause de la solidarité internationale.

N’hésitez pas à suivre l’actualité et la progression de chacun d’entre eux sur internet via facebook ou en contactant directement les responsables de projets dont les coordonnées pourront vous être renseignés via le mail de l’ABEP : [email protected]

Petite Action théléthon à Bordeaux !
Chaque année, l’ABEP tient un stand téléthon à Bordeaux. Cette année L’asso a frappé fort avec une journée ensoleillée, pleine de rencontres et de sourires. Merci aux artistes et pirates du SKINJACKIN d’être venus armés de feutres-pinceaux afin de créer de talentueux tatouages éphémères qui ont été appréciés par les jeunes et moins jeunes venus à notre rencontre pour soutenir une cause commune à tous.

HYÈRES

La Médiation Arno Stern
Bienvenue à l’IFPVPS, soleil de plomb, macadam qui brûle sous tes pieds nus… La pause déjeuner Hyères les palmiers, c’est un p’tit air de vacances… mais … QUOI ? Déjà 13h ? Allez, on vous embarque en pratique, une pratique pas comme les autres… Grimpez les marches deux par deux, quatre par quatre, et vous voilà au 3ème étage ! Suivez les murs rouge brique tantôt droits tantôt arrondis et… STOP ! C’est là, au creux de la petite alcôve que l’on retrouve le clos lieu.

« Le clos lieu », c’est quoi ça ? C’est cette petite salle aux murs recouverts de liège et de papier Kraft coloré par des traces de peintures. Vous l’aurez deviné, c’est là qu’on y pratique la peinture, dans un atelier d’éducation créatrice d’inspiration Arno-Stern. Arno qui ?? Stern quoi ?? Mais qu’est-ce que c’est encore que cette pratique étrange ? On se le demande bien souvent, mais rassurez- vous, cette question s’évapore très vite une fois dans la salle du clos lieu. Accueillis par la psychomot formée à l’animation de cet atelier, chacun enfile une blouse pleine de tâches de peintures des anciens et nouveaux étudiants (car tous s’essayent à cette pratique : de la première à la dernière année !) et HOP ! Nous voilà futurs peintres en herbe ! Au centre de la pièce, la table palette avec 10 pots remplis des peintures de couleurs chatoyantes et à coté de chacun d’eux, 2 pinceaux de taille différente. Un paquet de feuilles trône sur la table. Ce sont nos productions anciennes ou nos nouvelles feuilles blanches, que l’animatrice centre à la hauteur de notre regard. Prêt ? Peignez !

Oui, la peinture c’est une action plutôt solo me diras-tu… Mais avec les allers-retours vers les pots de peinture et tes feuilles en périphérie, il se crée vite une drôle d’atmosphère… En revenant au centre, tu prends du recul et découvres ta production et tu rencontres les autres étudiants centrés sur leur acte. Et si la feuille blanche pourrait ne pas t’inspirer, les échanges implicites avec le groupe relancent toujours la dynamique de création. Oh tiens, le pinceau jaune, bon bein je n’vais pas attendre 15 plombes pour le bleu, allez, un point, oh et puis un autre là, et là tiens ! Les échanges, même s’ils sont silencieux, sont donc précieux à notre évolution personnelle… L’atelier du type Arno Stern, c’est donc vivre sa propre présence et en présence de l’autre.

Et pour que le groupe tienne autour de cette tâche créative individuelle, l’animatrice tient le cadre qu’on dit externe : la salle, la peinture, les feuilles à accrocher, les punaises à enlever, les coulées à ramasser. Tu peux alors te consacrer entièrement à l’expression créative, corporelle, sensorielle, motrice ; enfin psycho-motrice.

Cet atelier qu’ici est nommé Arno Stern n’est pas un art où chacun crée une toile plus belle qu’une autre, ni un lieu pédagogique, et encore moins un lieu ou l’on interprète sa peinture. C’est l’art de laisser les formes qui sont en tout être et qui, par leur expression, nous amènent à « un plus être »... C’est se laisser porter par le mouvement, sentir le geste qui part du plus profond de toi et qui choisit sa place sur le papier, laisser aller les émotions, laisser vivre ta corporeité dans un espace où chacun est respecté dans ce qu’il est.

Au fil des séances, ton geste deviendra plus ample, moins crispé, le temps s’écoule et on prend le temps d’aller « jusqu’au bout de sa peinture ». Au-delà de la liberté du mouvement, c’est également la liberté de l’espace que tu découvres... Parce que le geste ne doit ne pas être contenu, aussitôt que le trait gagne un bord de feuille, voilà la psychomot qui en propose une nouvelle pour continuer la peinture !

Les couleurs se rejoignent en spirales, ronds, points, traits droits, triangles… Des formes archaïques et communes à toutes les civilisations qui se mêlent pour donner une toile bien singulière. Regarde là, tu y verras peut-être le reflet de ta personne, aucun doute, c’est bien toi qui as créé ça !

Mais… cette pratique recèle encore bien d’autres surprises car l’espace, la temporalité et l’ambiance concentrée et apaisante y sont bien particulieres, et ça… aucun article ne pourra mieux vous le décrire, il faut s’essayer !

Les Off du WEIEP

L’IFP de Hyeres, certes petit et jeune mais couillu ! (journal Le Mondeu 2015)
Le WEIEP était un rêve pour l’IFPVPS de Hyères et ce depuis la première promo (2011-2013). A Lille, difficile pour une petite école ouverte depuis seulement un an et demi de se proposer en tant que candidate.  C’est à Lyon que les Hyérois sont arrivés plus que motivés à mettre un barouf’ monstre et à revenir avec une petite surprise. Nous avions au préalable discuté de cette idée avec l’administration de notre école et prévu un budget pour une réussite total. On était alors prêts à vendre notre mère ou même AJURIAGUERRA pour que le WEIEP 2016 se déroule chez nous.

Nos étudiants présents à Lyon, ce week-end là, se sont bien arrachés les cordes vocales (et le foie & tripes pour certains), afin de se faire entendre. Puis ce fut la consécration, l’IFPVPS s’est faite élire avant même d’avoir pu se lever pour se porter candidate. #pyschomotivation !

Et c’est maintenant que commence la formidable épopée du WEIEP de Hyères…

Nous avons lancé la création d’un comité d’organisation avec 5 pôles différents : team journey, team soirey, team logistiquey (logistique), team partenariat et team communication. Deux référents chapeautent les quelques dizaines d’étudiants bénévoles dans chaque groupe.

Ce comité compte donc 46 étudiants bénévoles avec, en plus de tout ça, les Diplômés d’Etat qui vont venir nous prêter main-forte le jour même. Il faut aussi souligner l’aide apportée par nos formateurs et l’administration de notre école qui nous a accordé une subvention.

Tout ce beau monde a fait un sacré boulot physique mais aussi réflectif. En effet, le point le plus houleux a été la durée du Weiep... 2 jours/3 jours, mars/avril, pour/contre, etc.

Bien sûr que venir se dorer la pilule entre des palmiers et des flamants roses c’est plutôt luxueux mais le budget ne devait pas s’en ressentir. Il s’agissait d’un point d’honneur pour nous : des étudiants venus de contrées lointaines (3 jours à dos de chameau) ne devaient pas - en plus du trajet - payer une somme faramineuse.

Nous avons donc pesé le pour et le contre concernant la durée du WEIEP et nous avons décidé de partir sur 3 jours à un prix plus que raisonnable (67 € c’est le prix d’une paire de Coq Sportif, t’as qu’à venir en babouches ou en tongs, toute façon c’est le Sud).

Il a fallu trouver environ 8000 euros. Facile ! Ou pas… Dossier FSDIE impossible à monter pour nous, subvention de la mairie déjà passée… bref ce n’était pas gagné ! Mais on avait d’autres ressources !

C’est à partir de ce moment qu’il faut souligner l’énorme investissement de tous les étudiants de l’IFP qui ont soutenu ce projet “institutionnel”. Ils se sont investis dans la majorité des actions entreprises par le comité et le BDE.

Pour n’en citer que trois : une vente au marché aux puces a été entreprise avec des affaires gentiment données par des étudiants mais aussi des formateurs et… des étudiants ergo (#pluridisciplinarité), une action « papiers cadeaux » dans un magasin d’électroménager ou encore une tombola …

De plus, parmi les partenaires démarchés, nous tenons à remercier particulièrement la société Prestashirt, Prestige Évènements, la communauté d’agglomérations Toulon Provence Méditerranée (TPM), le traiteur des îles d’or et le Domaine de la Navarre qui nous hébergent (et reversera les bénéfices à la fondation “La Navarre” qui aide les jeunes en difficulté avec soutien scolaire individualisé) sans qui cet évènement n’aurait pu être possible financièrement.

A l’heure actuelle nous sommes légèrement en négatif. Cet investissement a néanmoins fait économiser plus de 30€ par participant (un toilettage complet pour ton chien d’économisé).

Concernant les activités nous avons voulu mettre l’accent sur les rencontres et la convivialité. Le samedi, des activités dans la ville d’Hyères et la villa Noailles, avec des équipes composées d’étudiants de tout horizon. Le samedi soir, un défilé des écoles suivi de l’élection de Miss et Mister WEIEP (présidé par Christina Cordula et Geneviève de Fontenay).

Le dimanche après-midi, un échange de pratique sur le thème du rythme et comme vous n’êtes pas venus pour acheter du terrain : une seconde soirée le dimanche.

Enfin, pour le lundi, un petit brunch sur la plage (on est comme ça nous)

Il nous a paru logique de remercier les étudiants de l’IFPVPS pour leur investissement, les DE pour leur aide sur place et nos formateurs ainsi que l’administration de notre école.

En ce qui concerne l’ambiance, on compte sur toi, étudiant de l’ISRP Paris, Marseille, la Pitié Salpétrière, Orléans, Genève, Lyon, Lille, Toulouse, Mulhouse, Bordeaux, Les Mureaux, Rouen et enfin Hyérois !

Manon Suplice 3ème année

APEPS

En septembre, nous étions 9 irréductibles tous prêts à faire l’impossible. En cours d’année, nous avons enrôlé de petits 1A triés sur le volet. Tous ensemble nous formons un bureau culotté qui n’a pas peur de poser ses couilles dans le pâté.

A notre tête, se trouve Léo, avec son beau sifflet rose et ses bières de tapettes, qui jamais ne se repose.
Avec son VP* Colin, ils sont en osmose.
Notre secrétaire Nolween est super sexy même juste après avoir vomi.
Soso les sous-sous nous a quitté pour aller tâter du Togolais.
Heureusement Marine notre super héroïne était là pour prendre le relais.
Marie, son padawan, l’aide à compter et protéger notre blé.
Manue et Sékhou gèrent le pôle com’.
Ils sont beaux à en tomber dans les pommes.
Iris, Anne, Camille et anciennement Margaux organisent nos événements unies par l’esprit de la fête, elles assurent l’enjaillement.
C’est avec jovialité, agilité et vitalité que Camille dirige le pôle solidarité.
Manon et Céline ont tendance à souvent bégère mais nos goodies sont magnifaïque, elles gèrent.
Pour finir en beauté et pour vous plaire, le pôle part’ est mené par deux femmes parfaites : Anaïs et Claire qui ne connaissent pas la défaite.

*Vaillant Poisson

Le TD de jeu dramatique

Autre temps, autre mœurs
« Il était une fois, un pays où les enfants étaient rois et la Licorne était l’animal de compagnie le plus courant. L’un des villages de ce pays abritait une horde d’individus qui avaient pour habitude de se balader en culotte dans la rue tout en portant un pantalon sur la tête. Comme dans chaque village, il y avait un chef adulte : le Maître Licorne. Celui-ci avait pour responsabilité de faire prospérer la paix, mais surtout, d’exaucer les voeux de chaque enfant pour le rendre le plus heureux possible. Maître Licorne était le plus connu des chefs, il était très apprécié par les villageois, surtout par les enfants. Leader dans l’âme, c’est lui qui avait lancé la mode du pantalon sur la tête. Son excentricité n’ayant d’égale que son audace, Maître Licorne inventa une coutume : une fois par an, à la même date et à la même heure, les enfants de 8 ans n’ayant pas d’animaux de compagnie recevaient une licorne en offrande. A cette occasion, les villageois devaient se rassembler autour de la place centrale du village pour y fabriquer un arc-en-ciel géant attirant les licornes sauvages des environs.

Cette année-là, les villageois fêtaient à la fois le jour des Orphelins (tels furent nommés les enfants sans animaux domestiques) mais aussi le 150ème anniversaire de la tradition. Alors que le rythme des Tam-Tam se faisait de plus en plus lancinant, Maître Licorne apporta la gigantesque marmite qu’il plaça sur l’estrade, sous un feu de camp improvisé. Les Orphelins se mirent à danser et à chanter autour de la marmite vide tandis que Maître Licorne fabriquait le breuvage mystique. D’ingrédients en ingrédients, une fumée épaisse sortait de l’âtre et envahissait la place. Lorsque la fumée devint multicolore, Maître Licorne ordonna que chaque enfant goûte un peu de l’arc-en-ciel avant de leur proposer leur futur animal.

Caché derrière un bosquet, M. Mouton, chef du village banni d’à côté, épiait depuis le début la cérémonie dans l’espoir d’y voler le nectar magique. M. Mouton devait à tout prix retrouver l’honneur que son village avait perdu dans des temps très anciens. Profitant d’un moment d’égarement, M. Mouton s’empara de la marmite d’arc-enciel, qu’il mit sur son dos, avant de s’enfuir en courant.

Maître Licorne, affligé par cet affront, pourchassa M. Mouton. Il le plaqua au sol, le ligota et le ramena jusqu’à son village. Brandissant son otage à ses villageois, Maître Licorne demanda qu’on lui amène une paire de ciseaux.

M.Mouton fut tondu devant tout le village. La laine que les villageois récupèrent fut tricotée par les femmes. Mais, alors que les réjouissances avaient repris, un enfant eut la malencontreuse idée de jouer près de la marmite avec l’un des tricots fraîchement fabriqués et il le fit tomber dans la mixture. Maître Licorne, irrité par tant d’ingratitude, s’empressa d’aller repêcher le bout de laine. Il en ressortit multicolore et les femmes le trouvèrent tellement joli qu’elles s’affairèrent à plonger chacune leur tour leur propre création. Et, avec fierté, elles se pavanèrent dans le village, affublées de leurs accoutrements. C’est ainsi qu’est née la mode du pull-over. ».

TD de jeu dramatique
thème « autre temps, autre moeurs », création d’histoire. Claire B
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ORLÉANS

L’IFP d’Orléans a fêté son premier anniversaire et a donc accueilli sa deuxième promotion d’étudiants !! Surnommés par les deuxième années les babymots, les PM1 se sont très bien intégrés à la vie de l’institut. La preuve en est : la soirée parrainage, le WEI, le repas de Noël ou encore le voyage au ski avec les kinés à Risoul ! Ce petit article est d’ailleurs rédigé pendant une soirée sur place. Nous vous envoyons donc plein de soleil de la montagne et de bisous alcoolisés. A bientôt au WEIEP !

Les babymots et les mumy-dadymots d’Orléans

Une Arrivée prochaine...

En ces beaux jours, nous avons l’honneur de vous annoncer que l’I FP de Rouen et de la Réunion ont déposé leur candidature pour rejoindre l’ANEP. Nous pouvons donc espérer qu’ils écriront de magnifiques articles pour le prochain Bulles de Psychomot, une fois admis par le CA ! Puissent les palmiers indiens et le mauvais temps normand vous porter chance ! ;)

Article paru dans la revue Bulles de psychomot’ /ANEP n°5

Publié le 1651581235000